APRÈS LA GRANDE DÉMISSION…
LE « CONSCIOUS QUITTING », UNE BOMBE À RETARDEMENT POUR LES ENTREPRISES.
« Tout PDG qui pense gagner la guerre des talents en offrant un peu plus d’argent, un peu plus de télétravail et un abonnement à la salle de sport sera déçu. L’ère de la démission consciente est en marche ». Cette phrase, signée Paul Polman, ancien PDG d’Unilever, est tiré du nouveau Net Positive Employee Barometer.
Ce rapport dévoile les contours d’une nouvelle tendance : le « conscious quitting » autrement dit la « démission consciente ».
Le conscious quitting est le fait de démissionner de son entreprise car cette dernière ne correspond pas à nos valeurs, sociales ou environnementales par exemple.
Selon l’étude menée par le cabinet Opinium auprès de 4 000 travailleurs – 2 000 Britanniques et 2 000 Américains – la moitié d’entre eux envisageraient de quitter leur employeur en raison de valeurs trop différentes.
Je pense qu’un candidat est avant tout un être humain, un cœur, un cerveau, une âme, une histoire…il ressent son entourage et vit des émotions.
Pour intégrer une nouvelle entreprise, il a besoin d’adhérer au triptyque : entreprise – dirigeant – projet – pour vivre une expérience professionnelle unique et surtout authentique.
Plus qu’une question d’argent, les bons recrutements sont ceux où ces professionnels, dirigeants et candidats se retrouvent sur des valeurs communes, un projet et un style de vie.
Ils regardent ensemble dans la même direction.
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